- À propos de mon premier « vrai » roman.
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 01).
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 02)
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 03)
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 04)
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 05)
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 06)
- À propos de mon premier « vrai » roman (suite 07)
- À propos de mon premier « vrai » roman (suite 08)
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 09)
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 10)
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 11)
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 12)
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 13)
- À propos de mon premier « vrai roman » (suite 14 et fin)
- Quelques nouvelles de mon roman « Le Maître de l’eau ».
- Dernières nouvelles de mon roman « Le Maître de l’eau »
- Dernières informations à propos du « Maître de l’eau »
Figure-toi, amie lectrice, ami lecteur, que je me trouve confronté à un vrai problème, quasi philosophique, tu vas voir.
En fait, il est surtout personnel et éthique.
La question est la suivante : je ne peux plus dire grand chose de plus que ce que j’ai déjà écrit à propos de mon roman, sauf à le dévoiler quasiment in extenso : intrigues, rebondissements, etc.
Autrement dit, il faudrait que je le rédige en entier ici.
Impossible, quand même !
Que faire, alors ?
Plus rien ?
Seulement le chapitre premier (deux pages, pour te donner une idée) ?
Quoi d’autre ?
Je reconnais que je m’attendais pas à me trouver en face d’un tel dilemme lorsque j’ai commencé cette partie et je t’avoue que j’ai bien envie de la clore, parce que continuer à la compléter revient à dévoiler l’intégralité de mon roman.
Comme je l’écris surtout pour qu’il soit lu, pour toi, donc, en partie, je te pose la question : que faire ?
Merci de ta réponse.